PHOTOKINESIGRAPHIE
Quand le mouvement devient une émotion révélée, capturant l'invisible.
Chaque image est une prise unique. Juste le réel, saisi dans son instabilité. C'est la caméra qui bouge. C’est le regard qui vacille, qui cherche, qui révèle autrement.
Une danse entre corps, appareil et rythme.
De 2011 à aujourd'hui
Dans la Photokinésigraphie, chaque mouvement du capteur devient un élément fondamental, mais c’est également la vitesse et l’intensité de chaque geste qui transforment l’image finale. Que le mouvement soit lent, rapide ou très rapide, chaque variation de rythme change l’image de manière significative. Quand plusieurs mouvements s’enchaînent, leur vitesse individuelle entre en ligne de compte pour créer un effet spécifique. Les tremblements eux-mêmes jouent un rôle dans cette technique. Qu’ils soient fins, plus intenses ou très marqués, ils ajoutent des textures et des dynamiques différentes à l’image finale. Chaque variation de rythme et d’intensité devient ainsi un outil artistique, contribuant à capturer l’essence du sujet dans toute sa complexité.
Dans la Photokinésigraphie, chaque mouvement du capteur devient un élément fondamental, mais c’est également la vitesse et l’intensité de chaque geste qui transforment l’image finale. Que le mouvement soit lent, rapide ou très rapide, chaque variation de rythme change l’image de manière significative. Quand plusieurs mouvements s’enchaînent, leur vitesse individuelle entre en ligne de compte pour créer un effet spécifique. Les tremblements eux-mêmes jouent un rôle dans cette technique. Qu’ils soient fins, plus intenses ou très marqués, ils ajoutent des textures et des dynamiques différentes à l’image finale. Chaque variation de rythme et d’intensité devient ainsi un outil artistique, contribuant à capturer l’essence du sujet dans toute sa complexité.
La Rosace de la Cathédrale Saint-Pierre
Genève
Photokinésigraphie appliquée à la Rosace, vibration, déplacement et retour à la vibration.
Photokinésigraphie appliquée à la Rosace : slalom vertical, pause, et vibration.
Galerie
Au creux des ténèbres, le feu trace le nom premier. 1/10
Cannette de bière dans une poubelle.
Dans le miroir de l’aube, les arbres rêvent, le ciel respire, la lumière révèle. 2/10
Paysage
Une émergence du souffle sur le point où le monde bascule en présence. 1/10
Caddie de supermarché dans la forêt.
Au cœur de l’ordre, le désordre inscrit une autre lecture. 1/10
Grue de chantier bleue
La lumière tourbillonne en quête de sens. L’image se fait souffle, mémoire et vertige. 3/10
Vitrail victorien de la Cathédrale de Chichester
La mort du Père
Plus de regard, juste l’écho flou d’un visage qui se retire.
On regarde, le silence, ce miroir suspendu. 2/10
Chêne centenaire
Ce chemin a son rythme, sa mémoire. Il ne s’ouvre, et ne se lit, qu’en marchant. 1/10
Chemin forestier
Une écriture de lumière, un langage éphémère, qui invitent. 2/10
Fêtes de Genève
Un fragment de mouvement capté dans le noir. La lumière glisse, trace, révèle. 2/10
Fêtes de Genève
Un palimpseste, où la lumière révèle les couches entremêlées de prières, de regards, de temps. 1/10
Vitrail - Cathédrale de Lausanne
Spectre Urbain
Fuite discrète ou abandon silencieux ? Il dérive, ombre roulante d’un geste oublié. 2/10
Geste calligraphique sur une chimère
Et si la Matrice répondait
depuis toujours ?
Présences
Ces figures n’ont plus d’âge, plus de contours fixes. Elles incarnent une mémoire en mouvement, une perception instable, une présence sans fixité. Je travaille cette opposition à la netteté comme norme, à l’instant figé comme vérité. L’image devient vibration, seuil, trace. Ce que je saisis, ce n’est pas un corps, mais sa résonance. Non un portrait. Une présence.
Colonnes
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Colonnes
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Colonnes
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Seuil, silence, …
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